Comment deux phrases on changé pas mal de change (cf l’article précédent) l’affaire a beaucoup trainé – de mon point de vue – et finalement aura pris le temps de murir et d’être géré correctement si l’on devait être objectif.
Il y aura eu quelques rebondissements qui auraient pu servir de pitch pour une bonne série télé. Mon recruteur qui frôle la mort et qui finit aux urgences et en arrêt pendant plusieurs semaines. En terme de cliffhanger, on est pas mal.
Et finalement, après une espèce de boss de fin sous forme d’entretien RH qui attaquait fort sur la partie managérial (mon gros point faible en vrai, il y en a d’autre très probablement, nobody is perfect !). C’est acté, je change encore une fois de carrière et après un rôle d’indépendant à mon compte (gérant) je redeviens salarié, cadre dirigeant et directeur opérationnel. Les titres claquent, mon père la haut est probablement fier de son fiston, ma mère l’est en tout cas ! J’avoue moi même ne pas encore y croire. Pas que je ne m’en crois pas capable (ça restera à être confirmé 😀 ), mais que mon parcours jusque là ne cesse de me surprendre, j’étais formaté à n’être qu’exécutant, pas vraiment décisionnaire. Et au fils des expériences, pourquoi pas ? C’est des compétences qui s’acquièrent, se travaillent. Il faut accepter de sortir de sa zone de confort et d’y aller. Pour le meilleur et pour le pire 🙂
Bref, je vais être responsable d’une quarantaine de personne !